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Ma vie sans toi
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Ma vie sans toi
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14 mars 2007

Je suis à un mois de toi

Il y a un mois de ça, je me levais pour entamer une journée dont j'ignorais encore qu'elle allait changer le cours de mon existence.

J'avais déjà eu la veille un premier contact avec toi, plus que sympathique.
J'avais su t' "accrocher" et toi, en retour, avais mis ma curiosité en éveil.
Je dois t'avouer n'avoir espéré qu'une chose alors : te retrouver parmi mes fidèles lecteurs, parmi mes fidèles "commentateurs" en ce jour de Saint-Valentin.

Ma journée de blogueuse a commencé tranquilement.
Parce que je suis comme ça, je vis l'instant présent, c'est aussi valable pour le blog.
Rien n'est prévu, rien n'est conçu à l'avance...
Tout est fonction de mes humeurs, du "mood", du moment.
Je ne calcule rien.
Non, je suis quelqu'un qui ne calcule pas.

Tu as débarqué dans mon cyber-espace autour de dix heures ce jour-là, un peu "rentre-dedans" mais avec tellement de classe et de douceur.
Tu n'étais pas le seul, loin de là, à me faire l'honneur de tes commentaires... Mais je sentais déjà plus de plaisir à les lire que d'autres, je me sentais flattée et séduite.

Nous avons finalement délaissé le blog peu avant quinze heures.
Riches d'un moment étourdissant que nous venions de partager : un moment d'une rare intensité, d'une grande beauté.
Il me semble encore aujourd'hui pouvoir lire tes mots : moment exquis, instant magique, pur plaisir... Je les ai tous effacés mais aucun n'a vraiment quitté ma tête et mon coeur.

Nous nous sommes retrouvés sans attendre en un lieu plus intime, à l'abri des "regards".
J'avais besoin de te parler.
Je sentais qu'il ne fallait pas que je te laisse filer comme ça après ce que nous venions de partager.
J'ignorais encore que tu n'avais aucune envie de t'en aller, que tout ce que tu souhaitais, c'était aussi continuer à échanger avec moi.
Nous étions à 700 kilomètres l'un de l'autre, mais à ce moment-là, je n'ai plus ressenti la distance...
J'étais dans mon salon, installée avec toi sur le canapé, un café fumant sur la table basse.
On a eu ce jour-là un mal fou à se "déscotcher" pour reprendre l'expression que j'avais alors utilisée...
On a fait durer le plaisir jusqu'à dix-neuf heures, en un magique moment d'osmose totale.

"La plus belle Saint-Valentin est celle à laquelle on ne s'attend pas.
A laquelle on ne réfléchit pas.
Celle qui vous marque et laisse des traces..."

(J'ai trouvé ça sur le blog de Marie et me suis permis de le reprendre à mon compte : j'ai eu l'impression que ces phrases étaient là pour moi, pour nous... J'espère que tu n'en prendras pas ombrage, Marie.)

J'ai basculé avec toi et pour toi dans un monde virtuel rempli de respect, d'amour et de tendresse.
Tu as réveillé en moi tout ce que j'y avais enfoui de meilleur.
Je me suis "dégourdi la plume" à ton contact et mon français y a repris un peu de sa superbe.
Tu es magique car confondant de sincérité, tellement attachant.
Parler avec toi m'élève et m'enrichit.
Tu éveilles ce qu'il y a de meilleur en moi et je ne peux que t'aimer pour ça.

Je sais que, par la suite, nombreuses ont été les nuits où tu as eu du mal à trouver le sommeil... par ma faute...!
Je voudrais te savoir te tournant et te retournant dans ton lit.
Pensant à moi.
Te demandant le pourquoi de mon silence.
Ayant toi aussi ton coeur et ton esprit repartis un mois en arrière.

Je voudrais remonter dans ma chambre après avoir rédigé ces quelques lignes et te trouver dans mon lit.
Trouver la chaleur de ton corps sous ma couette, partager avec toi le meilleur de ce que le petit matin a à nous offrir et pouvoir enfin m'endormir en paix.

Je voudrais savoir ce que nous réserve encore le destin...
Lui qui nous a fait le plus beau, le plus inespéré des cadeaux...

Je t'aime.

TaSiTristeLilly...

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Commentaires
M
bonjour lilly<br /> merci ... rien d'autre à rajouter....tes écrits me font frissoner...et trouver kelkes mots de moi ici ne m'offense pas ..bien au contraire merci...
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